07 septembre 2011

No logo et développement durable

La valse des étiquettes est suivie par la valse des logos, et l'on peut se demander si 4 logos à coté les uns des autres sur une modeste tablette de chocolat ne prête pas à confusion.

FairTrade, Certifié Agriculture biologique, Objectif Zéro Carbone, La plus haute garantie développement durable, tout ceci sur fond vert. regardez c'est très joli.

logo choco.jpg

Mais cette floraison de logos est-elle vraiment crédible ? Une belle marque ombrelle ne suffirait-elle pas ? L'entreprise a-t-elle besoin de se justifier ou de tangibilser ses actions..

 

 

 

 

 

 

02 septembre 2011

OPODO : un moment de vérité supplémentaire

Encombrée de e-mailing, j’ai voulu tester les désinscriptions pour les mails venant de France.

L’accès à la page Web montrant cette désinscription est souvent pauvre. "Votre demande de désinscription a bien été prise en compte". "L’ adresse xxx@yyyy a été retirée de notre mailing list". "Votre adresse e-mail xxx@yyyy a bien été déinscrite". "Nous vous confirmons la suppresion définitive de l'adresse, sous 7 jours, vous ne recevrez plus aucune information"...

Parfois, il faut même réécrire et valider son adresse mail pour confirmer son souhait de désinscription. Il arrive même, toutefois, c'est extremement rare, que le pourvoyeur de mail ne vous enlève pas de ses listes et il faut le traiter en spam.

D’autres fois, les fournisseurs sont un peu plus malins, histoire que vous vous souveniez d’eux de façon positive. Par exemple ce fournisseur qui nous dit " Vous profitez actuellement de notre sélection gratuite d’offres, produits et services adaptée à vos besoins et parmi les plus avantageuses du moment.. vous pouvez bien entendu renoncer.. " (newsletter.mur98.com)

La formule d’ Opodo "  Lassé de vos communications par e-mail ? Suivez-nous sur les réseaux sociaux " paraît être la plus dynamique.logo_opodo-newbaseline.gif

01 novembre 2010

CARTES AFFINITAIRES DANS LE SECTEUR FINANCIER : VRAI ou FAUX LEVIER DE DEVELOPPEMENT ET DE FIDELISATION ?

Il reste encore quelques places pour la prochaine réunion du club  BFA ADETEM sur un sujet qui touche les banquiers , les assureurs et les managers de bien d'autres secteurs :
 
Mardi 9 novembre 2010
de 9h30 à 11h30
Centre d'Affaires REGUS 72 Fbg St Honoré 75008 PARIS
 

Carte mémoire, carte de fidélité, carte d’assuré, carte Moneo, collection de cartes... Face à tous ces outils, comment positionner les cartes affinitaires ?

Depuis 2007, les banques françaises surfent sur la possibilité de co-branding et créent des cartes affinitaires en s’appuyant sur les fans de certains sports, sur le « gender marketing » ou sur des professions bien choisies, voire sur l’engagement vis-à-vis de certaines organisations caritatives.

En ce qui concerne le sport, nous constatons une belle convergence avec le sponsoring de chacune de ces institutions. Mais le développement de ces cartes affinitaires, s’il est le symbole d’une hyper segmentation, est-il vraiment un facteur de fidélisation ?

Jusqu’où le consommateur est-il prêt à jouer le jeu ? Du côté de l’entreprise, la création et l’animation de mini-communautés, la multiplication de services finissent par coûter cher. En quoi l’entreprise peut-elle être gagnante ?

Pour répondre à ces questions, nous avons convié des spécialistes du sujet à exposer leur réflexion et leur expérience en la matière :

- Cédric BOISSIER, Directeur associé – PENSONS CLIENT

- Frédéric MASERATI, Responsable des cartes affinitaires – BRED

CarteSatinBredFem72.gif

 

 

 

 

- Abel MORIEUX, Assistant Vice-President – CHUBB Insurance Company


Animation des débats par les co-Présidents du Club BFA Adetem :

- Anne JULIEN, Professeur, Titulaire de la Chaire Bancassurance Crédit Agricole Nord Est, REIMS MANAGEMENT SCHOOL

- Christian PARMENTIER, Associé-gérant, Laboratoire Assurance Banque

- TARIFS 2010 -
Gratuit - Adhérent 2010 ayant réglé le forfait Club
47,84 € TTC (40 € HT) - Adhérent 2010
107,64 € TTC (90 HT) - Non-adhérent

23 septembre 2010

IKEA A REIMS, le self service à la sauce nordique

logoikea.gifFin août, le célèbre distributeur de produits pour la maison ouvre une nouvelle implantation dans la proche banlieue de Reims.

Quelle nouveauté dans la distribution par le leader de son marché ? Comment fait-il évoluer son modèle où le client participe largement aux opérations  pour payer moins.

Arrêt 1 :

Si vous repérez un tissu qui vous plait, n’allez pas imaginer qu’il suffit de trouver une personne d’Ikea pour qu’elle découpe le tissu à vos mesures…Non... Non.., c’est à vous de trouver les ciseaux, le mètre et de vous débrouiller… Donc quand on est seul à faire les courses et pas spécialiste, on en coupe un peu plus, heureusement les tissus dans ce magasin peuvent être très avantageux. Le vendeur contrôle simplement ce que vous avez acheté en pesant votre ballot de tissu et la balance vous annonce le métrage. C’est un peu déroutant quand personne ne vous indique ce qu’il faut faire mais on sait qu’avec Ikea, le client doit coproduire.

Arrêt 2

Pour payer, en évitant les (longues) queues, vous n’avez qu’à scanner les produits, avec l’aide éventuelle d’une des collaboratrices d’Ikea, c’est fait en deux minutes…et  il y a de nombreux postes pour payer de cette façon. Le libre service à parfois du bon.

Détour  3 :

Pour sortir du parking et retrouver sa route habituelle, il faut là aussi se débrouiller tout seul, mais on peut espérer que d’ici quelques temps, la signalisation routière tienne compte de l’ensemble des nouveaux flux liés à cette installation commerciale.